Me laisse inhaler
"Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs en dégradé,
Evaporée, comme la fumée, dans un nuage cendré..."
Faire l’inventaire des trous et des bosses. Sur ta peau, ta bouche enfumée. C’est pas du gâteau. C’est plus du pipeau. Si les corps ne mentent pas, ce que la vie est machinale.
Faire l’inventaire des trous et des bosses. Au delà de mes collines. C’était un euphémisme pour le sentiment douloureux qui me tripe.
Tes mots ont percutés. Frappés au hasard du rien à foutre ou rien ne compte vraiment. Vu que ce n’était que de l’épiderme, rien ne touche, rien ne brûle, ne consume, ne vit, ne meurt.
J’ai fais l’inventaire, pour te dire. Tu sais quoi, t’étais déjà si loin. Je t’ai ramené au corps, on n’a plus qu’à faire de vibration et d’écho.
Tu es si dur que caresse. L’inventaire n’est qu’une passade, un mirage, à bout de doigt, de salive et de bouche. Un rasade, recrachée, à charnière de gorge, pour faire passer le mauvais gout, se brûler immédiatement, impérativement, à autre chose. Frotter du vide, s’en rassasier, de ce théâtre d’absurdités. De liberté chômée.
Mes collines sont des vallées d’imaginaire où ta place est soupir. De langueur. De douceur.
Putain de sueur. A portée de langue, à bras de coups, à peau perdue.
Les vapeurs en dégradé,
Evaporée, comme la fumée, dans un nuage cendré..."
Faire l’inventaire des trous et des bosses. Sur ta peau, ta bouche enfumée. C’est pas du gâteau. C’est plus du pipeau. Si les corps ne mentent pas, ce que la vie est machinale.
Faire l’inventaire des trous et des bosses. Au delà de mes collines. C’était un euphémisme pour le sentiment douloureux qui me tripe.
Tes mots ont percutés. Frappés au hasard du rien à foutre ou rien ne compte vraiment. Vu que ce n’était que de l’épiderme, rien ne touche, rien ne brûle, ne consume, ne vit, ne meurt.
J’ai fais l’inventaire, pour te dire. Tu sais quoi, t’étais déjà si loin. Je t’ai ramené au corps, on n’a plus qu’à faire de vibration et d’écho.
Tu es si dur que caresse. L’inventaire n’est qu’une passade, un mirage, à bout de doigt, de salive et de bouche. Un rasade, recrachée, à charnière de gorge, pour faire passer le mauvais gout, se brûler immédiatement, impérativement, à autre chose. Frotter du vide, s’en rassasier, de ce théâtre d’absurdités. De liberté chômée.
Tes trous pour tes errements.
Tes bosses pour les coups inconscients portés à ma surface.
Je me gorge de rien.
Gargarises toi. De moi.
Tes bosses pour les coups inconscients portés à ma surface.
Je me gorge de rien.
Gargarises toi. De moi.
Mes collines sont des vallées d’imaginaire où ta place est soupir. De langueur. De douceur.
Putain de sueur. A portée de langue, à bras de coups, à peau perdue.
Commentaires :
C'est marrant des trous et des bosses pour faire du vélo et se détendre, plutôt que son inventaire...
Moi j't'aime.
Moi j't'aime.
Infra-rose
Les flacons d'encre, c'est beau, et ce que tu écris encore plus.