Du bout du bar, j'avais juste cet air con, qu'on trouve sur les pantins qui sourient trop.
Le choc est fulgurant. T’as fait des étincelles sur mes murs blancs saupoudrés de venin. J’suis tombée, le cul par terre, j’me suis cognée la tête de tes mots et plus encore de tes silences. Tes silences imprononçables, brutaux.
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J’ai le putain de cœur qui vacille. Qui aurait cru.
Commentaires :
Ooooh la belle tartine de mots =)
J'ai les mots qui s'étalent depuis 8 ans, j'avais jamais compté, c'est pas mal tout de même. ça fait un paquets de mots ! Contente de t'effleurer avec ma plume, ça chatouille les doigts de pieds et ça pique là ou ça fait mal, nan ? =)
J'avais les mots un peu tardifs et défoncés cette nuit, d'ailleurs, pas assez dormi!
Je t'embrasse, et merci encore!
J'avais les mots un peu tardifs et défoncés cette nuit, d'ailleurs, pas assez dormi!
Je t'embrasse, et merci encore!
j'pense qu'on doit avoir le même air, un peu, là tout de suite.
ouais, ça fait bizarre, d'un coup, de se rappeler. ce qu'on sent, quand on est deux. et l'odeur de l'autre qui colle à la peau, autant que les silences partagés. et cette impression des maladresses.
j'aime quand t'écris. je les aime tes mots.
ouais, ça fait bizarre, d'un coup, de se rappeler. ce qu'on sent, quand on est deux. et l'odeur de l'autre qui colle à la peau, autant que les silences partagés. et cette impression des maladresses.
j'aime quand t'écris. je les aime tes mots.
ode
Tartinons , tartinons
Mots de l’esprit ou mots de la vie,
t’es texte sont, pour un déviant comme je le suis, agréable à lire, ils touchent les endroits que je m’étai promis de ne plus révélé au grand jour, de peur de souffrir ou simplement par lâcheté…
Depuis quand fais tu profiter le monde de ta plume ?
J’ai lu t’es écrit depuis le début de l’année …
mais j’ai cru comprendre que se n’ai pas ton premier essai ?
j’attends de dévoré la suite avec une impatience non feinte …
à plus tard ange de la nuit