Des ordres et des routes
Fais attention,
Où tu poses tes doigts,
Amour, ne te blesses pas,
Tu pourrais te brûler l’âme.
Brûler la peine,
Dans le fond de tes draps.
Brûler l’âme.
Tu n’imagines pas,
Les remords, la conscience qu’il m’a fallu,
Pour t’effacer de moi.
Mordre dans la chair, esquisser les routes
A jamais dépourvue
Corps éreinté, accidenté
Il n’y a plus là que souvenirs, tortures et doutes,
Reviens moi.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
On se grise, on se bouffe,
Les corps à bout de souffle
Plus rien ne nous arrête
Sur cette putain de route
Je pense à toi, au passé, aux baisers
Ta trace s’est effacée
Il n’y a plus qu’une vieille cicatrice
D'accrocs sur ma peau
Plus rien qui ne nous ralentisse,
Laisse aller.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
Il n’y a rien ici,
Qui ne retienne mes larmes
J’ai le gout de l’oubli,
De passer les armes
Reviens moi.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
Il n’y a que toi
Brisé sur le sol
Je deviens folle.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
Ou va t’on ?
Où tu poses tes doigts,
Amour, ne te blesses pas,
Tu pourrais te brûler l’âme.
Brûler la peine,
Dans le fond de tes draps.
Brûler l’âme.
Tu n’imagines pas,
Les remords, la conscience qu’il m’a fallu,
Pour t’effacer de moi.
Mordre dans la chair, esquisser les routes
A jamais dépourvue
Corps éreinté, accidenté
Il n’y a plus là que souvenirs, tortures et doutes,
Reviens moi.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
On se grise, on se bouffe,
Les corps à bout de souffle
Plus rien ne nous arrête
Sur cette putain de route
Je pense à toi, au passé, aux baisers
Ta trace s’est effacée
Il n’y a plus qu’une vieille cicatrice
D'accrocs sur ma peau
Plus rien qui ne nous ralentisse,
Laisse aller.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
Il n’y a rien ici,
Qui ne retienne mes larmes
J’ai le gout de l’oubli,
De passer les armes
Reviens moi.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
Il n’y a que toi
Brisé sur le sol
Je deviens folle.
Et le temps s’écoule, rien ne s’écroule,
Où va t’on ?
Autour de nous il y a foule, le monde est saoul
Ou va t’on ?
Le pouls à 100 à l’heure
Les habitudes et les peurs
Ou va t’on ?
Ou va t’on ?
Commentaires :
Ça ne se vit pas comme de l'amertume. Sauf pour le gout des larmes.
C'est un texte accidentel et accidenté.
Je vais tellement loin dans la réflexion (peut-être) que ce que j'écris n'a plus de sens, trop tarabiscoté.
Sinon, ça s'entend comme une chanson oui.
C'est un texte accidentel et accidenté.
Je vais tellement loin dans la réflexion (peut-être) que ce que j'écris n'a plus de sens, trop tarabiscoté.
Sinon, ça s'entend comme une chanson oui.
C'est d'abord la construction qui m'a fait penser à une chanson, après pour le sens de la réflexion cela semble toujours évident quand on écrit mais après ... ! J'ai souvent ce sentiment quand je me relis et que je ne comprends plus rien ;) Je pense que c'est le "pendant de l'écriture" qui compte le plus, le reste n'étant pas accessoire mais un peu moins important. En tout cas tu présentes toujours tes textes avec soin donc si quelques fois je ne comprends pas le fond, j'en apprécie assurément la forme ;) Bonne journée.
Art-Orange-2004